Votre note pour Defender of the Crown

[happymouse]

Concept et Scénario ; Le contexte reste relativement fidèle à la situation liée au départ puis à la captivité en Terre sainte de Richard Cœur de Lion : délaissée, la terre est l'objet d'un conflit géostratégique entre Saxons et Normands, matérialisé par trois barons dans chaque camp. Le parti est pris pour les saxons, deuxième peuplement de l'île à l'issue de la subjugation des celtes, au moment charnière de la prise de pouvoir des Normands par suite à la conquête du sud de l'île On notera la participation au jeu de Robin des bois qui vous aidera mais qui ne dispose ni de chevaliers ni de catapultes.

Jouabilité , Si certains moment sont relativement simple à jouer, cela se complique très vite dans les joutes équestres ou lorsqu'il faut manier l'épéé dans un château.

Durée de vie ; De bonne facture mais à la longévité limitée, ce jeux restera dans nomémoires comme un excellent divertissement; La bonne nouvelle étant que les versions d'époque sont "libre de droit" et disponibles pour C64, etc.... en "abandnware" sur le site "Cinemaware" (voir la rubrique "vault") .

Graphismes , L'éditeur de jeux vidéo a donné une ambiance épique aux atmosphères du jeu, par des scènes intermédiaires de qualité entre ses différentes phases (images de

château fort et scènes de forêt suggérant le mythe de la forêt de Sherwood[3]. La musique suscite également l'aventure et le cinéma de geste héroïque.

Cette caractéristique soignée reliée au genre du film de cape et d'épée est un trait des productions de Cinemaware : en l'espèce, la reprise du personnage aventuresque de Robin des Bois, bandit saxon symbole de la lutte contre les normands, que le joueur peut mander à la rescousse par trois fois.

Malgré une série de jeux à succès du même ordre, Cinemaware connut la ruine et disparut. En 2000 les fondateurs de la société d'édition, Lars Fuhrken-Batista et Sean Vesce se réunirent à nouveau afin de redémarrer la société. Après une version intitulée Defender of the Crown - Digitally Remastered Edition sortie en 2002 et rehaussant uniquement les graphismes et sons, ils annoncèrent la sortie d'une adaptation de leur plus fameux succès sur PlayStation 2, Windows et Xbox. Il s'agit de Robin Hood: Defender of the Crown, sortie en 2003 aux Etats-Unis et 2004 en France. Les caractéristiques similaires mais avec l'apparition notable de la 3D et de scènes nouvelles comme l'attaque surprise de convois.

Modifié le 9 avril 2009 par happymouse

[gargoule59]

haha! radin va...

Modifié le 9 avril 2009 par gargoule59

[happymouse]

haha! radin va...

Pas "radin" mais "économe". J'ai payé, il y a 30 ans et de mon argent de poche, le droit de l'utiliser ce programme. Si cinémaware veut que l'on paie un droit d'utilisation, je les invitent à envoyer la facture à Commodore Business Machines Inc. qui a de son propre chef décidé de cesser toutes productions concernant le C64.

Dans le cas contraire je poursuiverais ma politique de "terre brûlée" comme je l'ai fait pour la gamme du précité "Inc."

Modifié le 10 avril 2009 par happymouse

[happymouse]

pour être complet à ce sujet ;

- L'abus de position dominante se définissant par "des pratiques exercées par une ou plusieurs entreprises qui ont pour objet ou peuvent avoir pour effet d’empêcher, de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence sur un marché.". Ce qui inclus le rapport offre/demande et entreprise/client.

- L'entente commerciale se définissant par "un accord ou une action concertée qui a pour objet ou peut avoir pour effet d'empêcher, de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence sur un marché de produits ou de services déterminé".

Le schéma est simple d'une côté le consommateur et de l'autre, les entreprises (fabricant de machine + éditeurs de programmes) qui on intéret à ce qu'on renouvelle le hardware et le soft. Mais il s'agit là de l'objet d'un autre topic....